Bibliographie subjective de textes dramatiques emblématiques à recommander pour des études théâtrales, établie dans un esprit de diversité culturelle : exclusivement des traductions, éditées intégralement en français, un texte maximum par auteur, si possible un texte minimum par communauté, pour les périodes classiques (fin XIXe – début XXe), moderne (fin XXe) et contemporaine (XXIe), dans une perspective européenne et orientale. Une initiative semi-parodique du Théâtre national de Syldavie, avec la complicité des amis du réseau Eurodram et de la Maison d’Europe et d’Orient, dans le cadre de Klow capitale culturelle.
Ceci est une version beta : le classement par langues et pays sera supprimé pour la version qui sera promue. Elle restera néanmoins disponible en cas de besoin.
Ceci est un brouillon, en cours de finalisation.
ALBANIE
BEZHANI, Ilirjan, Les Arnaqueurs (1996), traduit de l’albanais par Christiane Montécot (L’Espace d’un instant)
JERO, Minush, Les Taches sombres (1968), traduit de l’albanais par Christiane Montécot (L’Espace d’un instant)
TREBESHINA, Kasëm, La Forêt (1976), traduit de l’albanais par Anne-Marie Autissier (L’Espace d’un instant)
ALGÉRIE
ALLOULA, Abdelkader, Les Généreux (1984), traduit de l’arabe (Algérie) par Messaoud Benyoucef (Actes Sud)
YACINE, Kateb, Boucherie de l’espérance ou Palestine trahie (1977), traduit de l’arabe (Algérie) par Zebeïda Chergui (Seuil)
ALLEMAGNE
BRECHT, Bertolt, Mère Courage et ses enfants (1952), traduit de l’allemand par Eugène Guillevic (L’Arche)
MÜLLER, Heiner, Hamlet-machine (1977), traduit de l’allemand par Jean Jourdheuil (Minuit)
[contemporain ?] Kaiser ?
ANGLETERRE
BOND, Edward, Sauvés (1965), traduit de l’anglais par Jérôme Hankins (L’Arche)
KANE, Sarah, Anéantis (1995), traduit de l’anglais par Lucien Marchal (L’Arche)
[contemporain ?]
AUTRICHE
BERNHARDT, Thomas, Place des Héros (1988), traduit de l’allemand (Autriche) par Claude Porcell (L’Arche)
HANDKE, Peter, Outrage au public (1966), traduit de l’allemand (Autriche) par Jean Sigrid (L’Arche)
SCHWAB, Werner, Extermination du peuple (1991), traduit de l’allemand (Autriche) par Henri Christophe (L’Arche)
[moderne à choisir ? contemporain ? Jelinek ?]
ARMÉNIE
BARONIAN, Hagop, Maître Balthazar (1887), traduit de l’arménien (Turquie) par J.-M. Silnitzky (Ernest Leroux)
GHAZAREH, Gagik, Remontée (2003), traduit de l’arménien par Anaïd Donabédian, Kegham Nigoghossian et Shaga Yuzbashyan (L’Espace d’un instant)
SHANT, Levon, L’Enchaîné (1918), traduit de l’arménien par Anaïd Donabédian et Alice Kolar-Artignan (L’Espace d’un instant)
ASIE CENTRALE
ABDOURAZZOQOV, Barzou, Huit monologues de femmes (2003), traduit du russe (Tadjikistan) par Stéphane Dudoignon (Zulma)
AYREEK, Kaveh, La Valise vide (2020), traduit du dari (Afghanistan) par Guilda Chaverdi (L’Espace d’un instant)
BIÉLORUSSIE
GUINDILIS, Sergueï, Les Voisins (2021), traduit du russe par Boris Czerny (L’Espace d’un instant)
KOUPALA, Ianka, Les Gens d’ici (1922), traduit du biélorussien par Larissa Guillemet et Virginie Symaniec (L’Espace d’un instant)
PRIAJKO, Pavel, La Récolte (2007), traduit du russe (Biélorussie) par Larissa Guillemet et Virginie Symaniec (L’Espace d’un instant)
BOSNIE
IMŠIREVIĆ, Almir, Si c’était un spectacle (1997), traduit du bosniaque par Mireille Robin (L’Espace d’un instant)
KARAHASAN, Dževad, La Roue de Sainte Catherine (1991), traduit du bosniaque par Mireille Robin (L’Espace d’un instant)
BULGARIE
BOYTCHEV, Hristo, Orchestre Titanic (2002), traduit du bulgare par Iana-Maria Dontcheva (L’Espace d’un instant)
DIMITROVA, Gergana, et KAMENOVA, Zdrava, Protohérissé (BP : Unabomber) (2010), traduit du bulgare par Marie Vrinat (L’Espace d’un instant)
STRATIEV, Stanislas, Le Bus (1980), traduit du bulgare par Catherine Lépront et Andrée Coconnier (Actes Sud)
CATALOGNE
BELBEL, Sergi, Après la pluie (1993), traduit du catalan par Jean-Jacques Préau (Théâtrales)
BORONA, Albert, Ici, ce n’est pas un endroit pour mourir (2013), traduit du catalan par Marion Cousin (Actualités)
CUNILLÉ, Lluïsa, Massacre (2001), traduit du catalan par Laurent Gallardo (Solitaires intempestifs)
CAUCASE
AKHMADOV, Moussa, Les Loups (1993), traduit du tchétchène via le russe par Aboubakar Abayev et Camille Sirota (L’Espace d’un instant)
AKHUNDZADÈ, Mirza Fath-Ali, Histoire de Monsieur Jordan, botaniste, et du derviche Mestèli chah (1850), traduit de l’azéri par Louis Bazin (L’Espace d’un instant)
OLMEZ, Mouradine, Le Sang et la cendre (2005), traduit du balkar via le russe par Larissa Guillemet et Virginie Symaniec (L’Espace d’un instant)
CHYPRE
UMMANEL, Aliye, La Maison (2015), traduit du turc (Chypre) par Selin Altıparmak (L’Espace d’un instant)
CROATIE
KRLŽA, Miroslav, Messieurs les Glembay (1932), traduit du croate par Nicolas Raljević (Prozor)
SAJKO, Ivana, Rose is a rose is a rose is a rose (2007), traduit du croate par Miloš Lazin, Anne Madelain et Sara Perrin (L’Espace d’un instant)
ŠNAJDER, Slobodan, Le Faust croate (1982), traduit du croate par Mireille Robin (L’Espace d’un instant)
CRIMÉE
BEKTASHEV, Rinat, Arzy, légende tatare (1996), traduit du tatar de Crimée (Ukraine) par Shirin Melikoff et Ömer Özel (L’Espace d’un instant)
DANEMARK
LOLLIKE, Christian,…
ÉCOSSE
HARROWER, David, Des couteaux dans les poules (1995), traduit de l’anglais (Écosse) par Jérôme Hankins et Claude Régy (L’Arche)
[GREIG ? Lune jaune ? BURKE ? Gagarin way ?]
ÉGYPTE
– EL-HAKIM/AL-HAKIM, Tewfik/Tawfiq, La Caverne des songes (1933), traduit de l’arabe (Egypte) par [Morik Brin, N. Costandi, A. Khédry et A. S. Sabra], (Nouvelles éditions latines)
[reste pour égypte ABDELNOUR, Nagah, Parcours dans l’ombre, traduit par Marguerite Gavillet Matar, (L’Harmattan) – AL ‘ELÂ AL-SALÂMÛNÎ, Mohamed Abou, Ce qui s’est passé le 11 septembre, traduit par Hanan Mounib. GEBO (Le Caire) / L’Harmattan (Paris), 2007 [source] ***, Douze femmes dans Kanater (Le Caire, 1983), traduit par Magda Wassef, Des Femmes, Paris, 1984 [source] – FATHY, Hassan, Le Conte du moucharabieh (1942-1984), traduit par Rana Kadry, Manal Hammad et Sawsan Maher, Collections électroniques de l’INHA, Beyrouth, 1991 [source] – FATHY, Safaa, Ordalie et Terreur, traduits par ?, préface de Jacques Derrida, « Beaumarchais » Lansman, Carnières, 2003 [source] à vérifier – HAFEZ, Hatem, La Peur, traduit par Jumana Al-Yasiri (MAV), Elyzad, Tunis, 2013 [source]
ESPAGNE
DEL VALLE-INCLÁN, Ramón, Lumières de Bohème (1920), traduit du galicien par Serge Salaün (UGA)
LIDDELL, Angélica, Belgrade (2007), traduit du castillan par Christilla Vasserot (Théâtrales)
MAYORGA, Juan, Lettres d’amour à Staline (1998), traduit du castillan par Jorge Lavelli et Dominique Poulange (Solitaires intempestifs)
ESTONIE
KÕIV, Madis, et RUNNEL, Hando, La Grange (1976), traduit de l’estonien par Jean-Pascal Ollivry (L’Espace d’un instant)
PIHLA, Mehis, Les affaires sont les affaires (2024), traduit de l’estonien par Martin Carayol (L’Espace d’un instant)
FINLANDE
KIVI, Aleksis, Les Cordonniers de la lande (1864), traduit du finnois par Lucie Thomas et Aimo Sakari (POF)
SAISIO, Pirkko, Les Enfants du Baïkal (2002), traduit du finnois par Anne Colin du Terrail (Teatterin Tiedotuskeskus)
PAYS DE GALLES
OWEN, Gary, L’Ombre d’un garçon (2002), traduit de l’anglais (Pays de Galles) par Kelly Rivière (Actes sud)
GÉORGIE
BOUGHADZÉ, Lasha, Le Président vient te voir ce soir (2013), traduit du géorgien par Donald Rayfield et Clara Schwartzenberg (L’Espace d’un instant)
KLDIACHVILI, David, Le Malheur (1914), traduit du géorgien par Janri Kachia (L’Espace d’un instant)
GRÈCE
ANAGNOSTÀKI, Loùla, La Parade (1965), traduit du grec par Nikiforos Papandréou, Jean-Yves Fossé et Claude Poliak (L’Espace d’un instant)
DIMITRIÀDIS, Dimìtris, Je meurs comme un pays (1979), traduit du grec par Michel Volkovitch (Solitaires intempestifs)
FLOURÀKIS, Andrèas, Exercices pour genoux solides (2013), traduit du grec par Michel Volkovitch (L’Espace d’un instant)
HOLLANDE
VEKEMANS, Lot, Poison (2009), traduit du néerlandais par Alain van Crugten (Espace 34)
[autres? hollande CLAUS, Hugo, voir EF]
HONGRIE
HÁY, János, Le Veilleur de pierres (2001), traduit du hongrois par Françoise Bougeard (L’Espace d’un instant)
MOLNÀR, Ferenc, Liliom (1909), traduit du hongrois par Alexis Moati, Kristina Rády et Stratis Vouyoucas (Théâtrales)
PINTÉR, Béla, Saleté (2010), traduit du hongrois par Françoise Bougeard (L’Espace d’un instant)
IRAK
KAHAR, Basim, Oranges (2019), traduit de l’arabe (Irak) par Marguerite Gavillet Matar (L’Espace d’un instant)
IRAN
NALBANDIAN, Abbas, Quelques histoires des pluies d’amour et de mort (1977), traduit du persan par Fahimeh Najmi et François Rémond (L’Espace d’un instant)
TEHRANI, Jalal, Les Unicellulaires (2003), traduit du persan par Liliane Anjo (L’Espace d’un instant)
IRLANDE
SYNGE, John Millington, Le Baladin du monde occidental (1907), traduit de l’anglo-irlandais par Françoise Morvan (Solitaires intempestifs)
FRIEL, Brian, Danser à la Lughnasa (1990), traduit de l’anglais (Irlande) par Alain Delahaye (Avant-scène théâtre)
[contemporain ?]
ISLANDE
SIGURJÓNSSON, Johann, Les Proscrits (1908), traduit de l’islandais par Raka Ásgeirsdóttir et Nabil El Azan (Théâtrales)
TYRFINGSSON, Tyrfingur, Quand Helgi s’est tu (2019), traduit de l’islandais par Raka Ásgeirsdóttir et Séverine Daucourt (L’Espace d’un instant)
ISRAËL
EVRON, Gilad, Ulysse à Gaza (2010), traduit de l’hébreu par Zohar Wexler (Théâtrales)
LEVIN, Hanokh, L’enfant rêve (1992), traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz (Théâtrales)
ITALIE
CARNEVALI, Davide, Portrait d’une femme arabe qui regarde la mer (2013), traduit de l’italien par Caroline Michel (Actes sud)
FO, Dario, Mort accidentelle d’un anarchiste (1970), traduit de l’italien par Valeria Tasca (Dramaturgie)
PIRANDELLO, Luigi, Six personnages en quête d’auteur (1921), traduit de l’italien par Benjamin Crémieux (Gallimard)
KOSOVO
DERVISHI, Teki, Au Seuil de la désolation (1985), traduit de l’albanais (Kosovo) par Anne-Marie-Autissier et Arben Bajraktaraj (L’Espace d’un instant)
NEZIRAJ, Jeton, Le Projet Handke (2022), traduit de l’albanais (Kosovo) par Sébastien Gricourt (L’Espace d’un instant)
PASHKU, Anton, Fièvre (1975), traduit de l’albanais (Kosovo) par Christiane Montécot (L’Espace d’un instant)
COMMUNAUTÉ KURDE
JAFFAR, Shwan, Les Ombres de Bagdad (2005), traduit du kurde (Irak) par l’auteur (L’Espace d’un instant)
METÎN, Mîrza, Gravité (2018), traduit du kurde (Turquie) par Atilla Balıkçı (L’Espace d’un instant)
LETTONIE
xxx
LIBAN
ASSAF, Roger, La Porte de Fatima (2006), traduit de l’arabe (Liban) par l’auteur (L’Espace d’un instant)
KHOURY, Elias, La Mémoire de Job (1993), traduit de l’arabe (Liban) par Roger Assaf (L’Espace d’un instant)
LITUANIE
[Marius Ivaškevičius ?]
LUXEMBOURG
HELMINGER, Guy, Venezuela (2003), traduit de l’allemand (Luxembourg) par Anne Monfort (Théâtrales)
MACÉDOINE
DUKOVSKI, Dejan, Baril de poudre (1993), traduit du macédonien par Frosa Pejoska (L’Espace d’un instant)
MIRČEVSKA, Žanina, Esperanza (2000), traduit du macédonien par Maria Béjanovska (L’Espace d’un instant)
STEFANOVSKI, Goran, Černodrinski revient à la maison (1991), traduit par Maria Béjanovska (L’Espace d’un instant)
MOLDAVIE
CRUDU, Dumitru, ESINENCU, Nicoleta, et FUSU, Mihai, Le Septième Kafana (2001), traduit du roumain (Moldavie) par Dany Rossel et Mihai Fusu (L’Espace d’un instant)
ESINENCU, Nicoleta, FUCK YOU, Eu.ro.Pa ! (2003), traduit du roumain (Moldavie) par Mirella Patureau (L’Espace d’un instant)
MONTÉNÉGRO
PETROVIĆ NJEGOŠ, Petar II, La Couronne de la montagne (1921), traduit du serbe (Monténégro) par Vladimir André Čejović et Anne Renoue (L’Âge d’homme)
[à voir bojoviĆ ou djurkoviĆ changement d’habit]
NORVÉGIEN
IBSEN, Henrik, Un ennemi du peuple (1882), traduit du norvégien par Terje Sinding (Actes Sud)
FOSSE, Jon, Quelqu’un va venir (1996), traduit du norvégien par Terje Sinding (L’Arche)
BRATTBERG, Fredrik, Sur la côte sud (2019), traduit du norvégien par Jean-Baptiste Coursaud (L’Arche)
PALESTINE
ABOU SALEM, François, Dans l’ombre du martyr (xx), traduit de l’arabe (Palestine) par Najla Nakhlé-Cerruti (IFPO)
ASHTAR théâtre de Ramallah, Les Monologues de Gaza (2010), traduit de l’arabe (Palestine) par Marianne Weiss (L’Espace d’un instant)
[voir MASARWI, Riad, Les Impuissants (2009), traduit par Firas Azzam el Nabulsi, Théâtrales, Montreuil, 2011 ou MURKUS, Bashar, Le Temps parallèle, traduction de l’arabe (Palestine) Najla Nakhlé-Cerruti (IFPO)]
POLOGNE
GOMBROWICZ, Witold, Yvonne, princesse de Bourgogne (1935), traduction du polonais xx (xx)
SŁOBODZANEK, Tadeusz, Notre Classe (2008), traduit du polonais par Cécile Bocianowski (L’Amandier)
[Sławomir Mrożek ? tango ?]
PORTUGAL
PESSOA, Fernando, Le Marin (1915 ?), traduit du portugais par xx (xx) ?
RODRIGUES, Tiago, Catarina et la beauté de tuer des fascistes (2020), traduit du portugais par Thomas Resendes (Solitaires intempestifs)
ROUMANIE
CARAGIALE, Ion Luca, M’sieur Leonida face à la réaction (1880), traduit du roumain par Eugène Ionesco et Monica Lovinesco (L’Arche)
CĂRBUNARIU, Gianina, Stop the tempo ! (2004), traduit du roumain par Diaana Cilan et Gabriel Marian (Actes sud)
VIŞNIEC, Matei, Les Chevaux à la fenêtre (1986), traduit du roumain par l’auteur (L’Espace d’un instant)
RUSSIE
GORKI, Maxime, Les Bas-fonds (1902), traduction du russe xx (xx)
SCHWARTZ, Evgueni, Le Dragon (1944), traduction du russe xx (xx)
VIRIPAEV, Ivan, Les Enivrés (xx), traduction du russe Tania Moguilevskaia et Gilles Morel (Solitaires intempestifs)
SERBIE
ŠIMOVIĆ, Ljubomir, Le Théâtre ambulant Šopalović (1985), traduit du serbe par Borka Legras et Anne Renoue (L’Âge d’homme)
SRBLJANOVIĆ, Biljana, La Chute (1999), traduit du serbe par Ubavka Zarić et Michel Bataillon (L’Arche)
STERIJA POPOVIĆ, Jovan, Les Patriotes (1909), traduit du serbe par Paul-Louis Thomas (Kov)
SLOVAQUIE
[à voir Klimáček, Viliam Opération Roméo, Komunizmus, une comédie de Normalisation (xx) traduit du slovaque par Jaromir Janeček et Claire Vidoni (Infimes)]
SLOVÉNIE
JANČAR, Drago, La Grande Valse brillante (1985), traduit du slovène par Andrée Lück-Gaye et Zdenka Štimac (L’Espace d’un instant)
JOVANOVIĆ, Dušan, La Libération de Skopje (1977), traduit du slovène par Dušan Jovanović et Mireille Robin (L’Espace d’un instant)
SUÈDE
KHEMIRI, Jonas Hassen, J’appelle mes frères (2012), traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy (Théâtrales)
NOREN, Lars, Les Démons (1984), traduit du suédois par Per Nygren et Louis-Charles Sirjacq (L’Arche)
STRINDBERG, August, Mademoiselle Julie (1888), traduction du suédois xx (xx)
SUISSE
FRISCH, Max, Monsieur Bonhomme et les incendiaires (1953), traduit de l’allemand (Suisse) par Philippe Pilliod (Gallimard)
DÜRRENMATT, Friedrich, La visite de la vieille dame (1955), traduit de l’allemand (Suisse) par Jean-Pierre Porret (Flammarion)
SYRIE
KADOUR, Wael, Chroniques d’une ville qu’on croit connaître (2019), traduit de l’arabe (Syrie) par Nabil Boutros (L’Espace d’un instant)
SOULEIMANE, Fadwa, Le Passage (2012), traduit de l’arabe (Syrie) par Rania Samara (Lansman)
WANNOUS, Saadallah, Rituel pour une métamorphose (xx), traduction de l’arabe (Syrie) Rania Samara (Actes Sud)
REPUBLIQUE TCHÈQUE
ČAPEK, Karel, R. U. R. (1920), traduit du tchèque par Jan Rubeš (La Différence)
HAVEL, Václav, Audience (1975), traduit du tchèque par Marcel Aymonin et Stephan Meldegg (Gallimard)
ZELENKA, Petr, Petites histoires de la folie ordinaire (2001), traduit du tchèque par Jaromír Janecek et Jean-François Loez (Théâtrales)
COMMUNAUTÉ TSIGANE
NIKOLIĆ, Jovan, et SEJDOVIĆ, Ruždija, Carrousel pour les Tsiganes (1999), traduit du rromani (Yougoslavie) par Marcel Courthiades (L’Espace d’un instant)
ŞERBAN, Alina, La Grande Honte (2018), traduit du roumain par Nicolas Cavaillès (L’Espace d’un instant)
TUNISIE
[à voir
AMAMI, Samia, Sous X (2006), traduit par Hamdi Hemaidi et Natacha de Pontcharra (MAV), Elyzad, Tunis, 2014 [source]
BACCAR, Jalila, A la recherche de Aïda, traduit par Fadhel Jaïbi, CNL / TGP / Du monde entier, Les Solitaires intempestifs, Besançon, 1998 [source]
GUIGA, Nidhal, Pronto Gagarine, traduit par l’auteur et Natacha de Pontcharra (MAV), Elyzad, Tunis, 2014 [source]
TURQUIE
ERKAL, Genco, Sivas 93 (2007), traduit du turc par Selin Altıparmak (L’Espace d’un instant)
HİKMET, Nâzım, Ceci est un rêve (1934), traduit du turc par Noémi Cingöz (L’Espace d’un instant)
TANER, Haldun, L’Épopée d’Ali de Keşan (1964), traduit du turc par Jean-Louis Mattei (Ministère de la Culture de Turquie)
UKRAINE
JADAN, Serhiy, Hymne de la jeunesse démocratique (2006), traduit de l’ukrainien par Iryna Dmytrychyn (L’Espace d’un instant)
OUKRAÏNKA, Lessia, L’Amphytrion de pierre (1912), traduit de l’ukrainien par Andry Swirko (Amibel)
VOROJBYT, Natalka, Mauvaises routes (2016), traduit de l’ukrainien par Iryna Dmytrychyn (L’Espace d’un instant)
COMMUNAUTE YIDDISH
AN-SKI, Sh., Le Dibbouk : Entre deux mondes (1916), traduit du yiddish par Batia Baum (Medem)